DIX-SEPT ANS DE FORMATION GROUPALE: UNE ÉXPERIENCE EN ÉVOLUTION

Es la versión francesa en francés del trabajo del mísmo título que también está en la página. Este trabajo fue presentado en las Jornadas que se celebraron en Ginebra en el año 2003 en torno a la formación en psicoterapia de grupo.


Dix-sept ans de formation groupale : une expérience formative en évolution.

Dr. J. M. Sunyer

 

Introduction.

 

A Bilbao et à partir 1975 et sous la direction du Prof. Guimón commence un programme formatif en Psychothérapie de Groupe. Pour cette formation on avait invité a participer de nombreux professionnels d’autres régions d’Espagne et de l’étranger. Plusieurs professionnels qui travaillaient dans centres de santé mentale, ou services de psychiatrie ou aux Hôpitaux psychiatriques, hôpitaux et centres de jour avaient commencé leur formation en psychothérapie groupale.

 

Le programme s’organisait a partir d’une combinaison des activités d’expérience personnelle en psychothérapie de group en groups petits et aussi en large group. Nous avions aussi d’espaces de théorie et de supervision de nos activités cliniques groupales. Toute cette formation eut l’influence de l’expérience formative de l’institut de group analyse de Londres (M. Pines, M. Marrone, M. Patalán et Fdo. Arroyave), des professionnels espagnols (L.Illà, J.L. González Rivera, P. O’donell, et J. Campos), et aussi de notre travail clinique dans les consultations externes et d’hospitalisations totales et partiales donc nous y travaillons.

 

Toute cette formation, organisé par la Fundation OMIE, a la reconnaissance Universitaire de la Université de Deusto (Bilbao) qui donne a ceux qui ont réalisé toute la formation le titre de post grade « Máster en psychothérapie de Groupe » Il y a encore la possibilité pour ceux qui n’ont pas la formation suffisante pour un titre universitaire d’avoir une autre formation, un petit plus courte ( 2 ans) mais avec le même programme et la reconnaissance de « expert en travail groupal »

 

D’autre part le Prof Casas, qui étais le directeur et coordinateur du Service de Toxicomanies de l’Hôpital de saint Pau, a Barcelone, lui a demandé Prof Guimon de superviser les activités de ce service. Au parcours de cette supervision on s’aperçoit de la nécessité d’élargir la connaissance que touts les membres de l’équipe avaient sur la psychothérapie de group et de leurs possibilités d’applications pour les soins de malades qu’on y avait. Ce pour ça qu’on avait pensé la possibilité de formation groupale pour l’équipe, mais comme la possibilité de voyager pour la formation a Bilbao étais impossible, on décida d’organiser une sorte de formation en blocs a Barcelone, quatre pour commencer. Pour cette formation on invita quelques professionnelles de Barcelone et de Bilbao a organiser une équipe sous la direction du Prof. Guimón, et plus tard, sous la direction du Dr Ayerra.

 

A partir du travail qu’on avait commencé, on organisa un plan formatif composé par des activités groupales tant de psychothérapie en petit group comme d’expérience en large group, des activités théoriques et de supervision. L’équipe eut formée par professionnels qui avaient de formation en psychothérapie groupale et aussi de formation dynamique o psychanalytique, et de l’expérience clinique. A partir de ce moment, l’expérience s’organise au long de trois ans, avec quatre week-ends, et après avec sis et un peut plus tard, huit week-ends. Chaque an des candidats commencent leur formation avec ceux qui sont en deuxième et troisième année. La forme d’organiser la formation a Barcelone prend le model de blocs formatifs, et commence une expérience formative qui a évolué pendant tous ces dix-sept ans

 

Le programme consiste en 24 week-end de 25 h heures a long de 3 ans, et avec un total de 600 h. de travail groupal. L’équipe actuel est formé par sis professionnels de la psychothérapie de groupe qui ont de la formations et de l’expérience clinique. Ceux qui veuillent être formés ont besoin d’une titulations Universitaire que leurs y permettra d’obtenir le titre de Master en Psychothérapie de group », et ont d’accepter la formation sou le pansement de la psychothérapie dynamique. Ceux qui s’incorporent se trouvent avec des compagnons qui sont dans leur deuxième ou troisième année.

 

Les intégrants de l’équation formative.

 

Nous considérons que l’équation est formé par les professionnels que viennent pour se former et ’équipe est formé par les professionnels formatives qui forment la base ; en en plus, par les observateurs, la personne en frontière, et occasionnellement par les professeurs invités.

 

Ceux qui viennent a se former.

 

Basiquement il s’agit de professionnels de la santé qui après ses études de Psychologie ou l’spécialisation en psychiatrie mais aussi des personnel d’infirmerie ou des services sociaux, veuillent obtenir une spécialisation en Psychothérapie de group qui a la reconnaissance universitaire de Master en Psychothérapie Analytique de Group. Pendant tous ces années près de 300 personnes se sont inscrites et ont obtenu le titre universitaire.

 

L’équipe formative.

 

L’équipe qui a était conduit par Prof. Guimon et plus tard par Dr.Ayerra a était composé par professionnels de la santé mentale, entraîné en psychothérapie de group et qui travaillaient dans différents Centres de santé de Bilbao et de Barcelone. Il y avait qui avait plusieurs années d’expérience, et d’autres avec plus d’enthousiasme et du désir et illusion d’apprendre et de fer quelque chose plus proche a leur expérience qu’a ce qui disaient les libres. D’autre part, il y avait aussi qui étaient plus proches a les positions de Bion, d’autres qui se sentaient plus bien avec Foulkes, et, d’autres qui étaient plus ouverts a tout ce qui pouvait dévernir enrichissant pour mieux comprendre ce qui est la psychothérapie de groupe. Tout ça permis de tenir différentes positions face au programme que voulions organiser. Et ça nous a obligé à nous réunir, dialoguer, organiser une forme de panser commune et a prendre conscience de ce que voulait dire designer un programme de formation groupale pour professionnels de la santé. Les différentes sensibilités furent mis sur la table et ça nous a obligé a nous définir qui était en conditions personnelles de se compromettre pendant plusieurs années a cette idée. La peur de que quelqu’un pouvait « voler l’idée » nous avait obligé a déterminer notre responsabilité et fidélité au programme. L’équipe, finalement a était formé par professionnels qui étaient proches et qui pouvaient maintenir un niveau de relation et de responsabilisation importante.

 

A partir de notre évolution et actuellement, sis sommes les professionnels qui, sous la direction du Dr. Ayerra, avons la responsabilité de maintenir la capacité de penser, de contenir tous les mouvements affectifs qui proviennent des différents groups et aussi du ce qui constituent l’équipe de travail. En effet, nous ne sommes pas seulement des professionnels qui pendant vint-et quatre week-ends travaillons avec des professionnels de la santé pour les entraîner en psychothérapie de group, nous sommes une équipe de personnes qui nous avons l’obligation d’élargir notre capacité de contention, et pour tant, notre capacité de penser en toutes les circonstances que chaque group nous pose. Pour ça nous devons nous constituer en groupe de travail et pendant tout les week-ends, nous essayons de trouver des significations a tout ce qui ce passe a l’structure, a tous les groups, même le notre. Seulement avec cette responsabilité, l’structure formative peu maintenir un haut niveaux de compromis formative et personnel avec tous et chacun des candidats.

 

Les observateurs.

 

Une seconde aspect de l’évolution est la question d’avoir d’observateurs. Nous savons le besoin d’avoir un observateur a chaque group mais qui pouvait faire cet rôle a été un point de discussions parmi nous. D’abord nous savons que si on peut observer un groupe est une bonne forme complémentaire formative. D’autre part nous savons que si le conducteur a la figure d’un observateur, ça peut être une bonne aide a leur travail parce que tous deux pouvaient discuter ce qui passe dans le group et comme chaque un l’a vécu; d’autre part ça nous permettais d’avoir un niveau de sûreté plus grande parce que si le conducteur devenait malade, l’observateur peut, nous pensons, le substituer.

 

D’abord nous avons offert la possibilité de devenir observateur a personnes qui avaient des responsabilités aux centres ou nous faisons la formation. Plus tard, et a partir de constater les difficultés que ça avait provoqué nous avons décidé d’offrir des places d’observateurs (ou observatrices) a ceux qui voulais le faire, et que l’équipe prendra la considération de qui, parmi eux, pouvait prendre la place pour un an. L’expérience a été bonne et nous a conseilla d’offrir chaque an des places d’observateur ; mais pour éviter ou diminuer les problèmes qui provenaient des aspects tranferenciaux, les temps nous a montré que il fallait, au minimum, un an de déconnexion avec le programme formatif.

 

Ces figures représentent d’un coté, pas seulement une forme complémentaire d’apprentissage, mais une aide très importante pour le conducteur : ils devenaient un équipe de travail qui permettaient de réunir toute la information qui provient de chaque séance groupale et, a partir du dialogue que s’organise entre conducteur et observateur, tout les deux maintiennent la capacité de penser que c’est la base de la capacité de contention du conducteur. Mais d’autre part l’observateur représente, a notre avis, tous les aspect qui ne sont pas capables d’être compris dans le dialogue entre les membres et les membres et le conducteur. Et aussi les parts qui ne peuvent être pas dites par le conducteur. Cette part se pose dans la figure de l’observateur qui doit être capable de les contenir pendant la durée de la séance, et de les partager avec le conducteur et l’équipe formé par touts les conducteurs.

 

La personne en frontière.

 

Toujours nous avons invité des personnes a participer a notre expérience formative. Il y avait différent formes de participation: comme professeurs spécialisés, comme superviseurs de l’équipe de conducteurs et observateurs, et aussi comme observateurs privilégiés de toute l’expérience. Peu a peu, cette figure a devenu plus important de ce que nous avons imaginée d’abord. En particulier la figure de l’observateur privilégié ou, comme nous disons, personne en frontière. Par ce que nous proposons a d’autres professionnels de la santé et pour ouvrir l’expérience, d’y participer comme d’observateurs a touts les espaces que nous avons : les petits groups, les grand groups, les séminaires, les espaces de réflexions de la tâche, et les réunions de l’staff. Mais a mesure que chaque année une ou plusieurs personnes ont été invitées nous avons constaté de l’importance particulière d’avoir un professionnel de groups qui, ne pas participe comme observateur a tous les espaces, mais qui peut y participer, s’il le veut en disant ce qu’il voyait que passe dans le group et apporter leur expérience.

 

Nous avons perçu que cette observateur privilégié est a la frontière de nôtre expérience, entre la réalité extérieur et nous. Et qui apporte des idées qui n’étaient pas contaminées par l’expérience formative. Ça nous a donné l’opportunité d’ouvrir l’expérience, de pas nous fermer à nous mêmes, et d’avoir d’autres points de vues que nous permette de penser un peut plus loin de ce que nous les ferions sans cette figure. En cette direction si le bu d’un équipe est la de devenir cohésioné en certes moments ça peut être un péril (Nitsum) La possibilité d’avoir une personne en frontière est une opportunité pour maintenir ce cohésion plus bénéficial. En outre, la possibilité de que l’équipe soit un group lentement ouvert, ça veut dire, avec une certes changements des personnes qui permettaient de maintenir aussi ouverte l’structure formative.

 

En ces moment, et pour chaque période formative, une o deux personnes nous visitent, et nous offrent la possibilité de penser sur l’expérience et les dynamiques qui s’y donnent.

 

Des professeurs invités

 

En outre, et pour maintenir une connexion complémentaire avec des différent courants de pansée groupale, et pour enrichir la formation, nous invitons, de temps en temps, de professionnels de la santé qui avaient réalisé de travails importants ou qui avaient d’expériences groupales significatives et que nous croyons importante de partager avec nous. Ce une autre forme de participations qui nous enrichisse et de la que nous en somme très satisfaits.

 

L’structure formative.

 

Les conducteurs et observateurs constituent l’équipe formatif. L’idée qui soutient le travail qu’on organise a trois fonts d’influence :

 

La formation psychanalytique. La plupart de nous et pendant les années de travail clinique et assistencial, a eu une formation psychanalytique plus ou moins réglée. Ce formation a supposé des années de travail psychanalytique personnelle et l’assistance a nombreux séminaires de psychanalyse. Ce vrais que parmi nous, il y a qui croie que ce formation n’est pas nécessaire pour qui travaille en groupe. Mais je croie que pour mieux comprendre les processus mentaux individuels qu’on peu voire au groupe, et même, les processus mentaux groupales qu’on peu envisager, une formation personnelle psychanalytique ce fondamental.

La formation group analytique. Si la formation psychanalytique est important, ces plus la formation groupale. Ça veut dire qu’il faut avoir de l’expérience personnelle en group, en petit group et en grand group, pour bien comprendre tout ce qui se passe. Nous ne pouvons pas passer les considérations psychanalytiques, traduire systématiquement les pont de vue psychanalytique, et pour tant individuelle au champ du group. Il faut les complémenter avec le connaissance des touts les processus qu’on organise entre les personnes, entre chacun et les autres et les différent constellations de relations qu’on organise dans le group, avec la inclusion du conducteur et de l’observateur. Et en plus, les processus que chaque group a avec la reste des groups et qui constituent un cadre de référence important pour mieux comprendre le petit group et le grand group.

L’expérience clinique, en spéciale attention à formes de traitement semblables à Hôpital du jour ou communautés thérapeutiques. Cette forme de travail clinique, en spéciale attention au mon de la psychose, nous permet d’avoir une spéciale sensibilisation au processus primaires, au régressions mentales qu’on a dans les groupes, au processus de fragmentation, et d’autres mécanismes mentaux que les personnes utilisons dans les processus formatives et non pas formatives, mais si groupales. En plus, si nous avons informations suffisantes sur les fonctionnement des communautés thérapeutiques, nous avons la possibilité de mieux comprendre tout ce qui se passe dans le totalité de l’structure formative.

 

Pour maintenir un certain cohérence nous nous réunissons plusieurs fois chaque année. Le but fondamental est réviser l’structure que nous offrons, modifier ces aspects de la formation qui peuvent être améliorées, et d’établir, entre nous, des relations personnelles de confiance et de complicité suffisante, ce que nous permettra d’avoir ou d’augmenter la capacité de contenir tous les angoisses que les participant nous pose (Bion). En tout cas, le désir de devenir un équipe « le suffisant bon » comme disait Prof. Guimon en prenant les mot de Winnicott, est toujours présent. A partir de ces réunions, l’structure formative a les suivant aspects :

 

Les petit groups. Sont constituées par huit ou neufs membres, l’observateur et le conducteur. Ils se réunissent sept fois pour chaque week-end et l’objectif est d’organiser une conversation les plus libre possible entre les membres. L’idée de référence est la libre association. Ces groupes on une durée d’une heure et demi. L’expérience on nous a conseillé de réduire a sis les nombre de groups pour avoir la possibilité de l’organisation d’un group grand de plus.

Group Grand. Cet espace a eu une des évolutions plus importantes dans notre programme formatif. En principe s’agissait d’un espace qui produit toute une quantité de confusion, de malaise, importante. Il y avait a nombre important de personnes, quarante ou soixante-dix, conduites par un conducteur avec la présence de tous les autres conducteurs de group petit et les observateurs. D’abord, nous ne savon pas plus de comme conduire cet espace. Les références que nous avions, venaient des groups antérieurs qui eurent été conduits en laissant le group de faire leur propre évolution. Mais nous avions constaté que quand le group n’a pas un conducteur (ou mieux une pareille) qui prenne les angoisses du group et les travaille, le group facilement entre dans un état de confusion et avec le grand péril de que quelqu’un de ses membres puisse perdre l’équilibre émotionnelle. Ça nous a obligé a considérer la forme de conduire le group et la quantité de groupes que nous croyons idéal pour notre programme. Donc que nous avons modifié la forme de conduction, ça veux dire, en devenant plus des faciliteurs du dialogue, en prenant la responsabilité de souligner les difficultés que le group a en établir un dialogue parmi ses membres, de parler de choses qu’on ne veux pas parler comme sont les aspects sociaux (terrorisme, problèmes de la langue, du nationalisme, de l’émigrations, de l’intégrations entre les différents sensibilités sociaux, etc.), et aussi d’autres aspects plus personnels comme la difficulté de s’y trouver dans un group, de pouvoir penser, et parler. A partir de ce moment la, le group a devenu un espace important dans notre structure. Aussi nous avons constaté l’importance de que tout ceux qui se trouvent dans le group puissent parler : ça veut dire que les observateurs ne sont pas invitées dans ces groupes parce qu’ils ne peuvent pas parler. Par contre, la personne en frontière est invité a participer. En ce moment nous avons décidé d’augmenter le nombre d’espaces groupales: nous en avons trois groups pour chaque week-end.

Les espaces de théorie. Que on puisse organiser la formation autour des aspects émotionnels ne veut pas dire de ne pas inclure des aspects théoriques. Nous avons deux formes différentes de la donner. Le premier an de formation, lorsque chaque personne qui commence à un niveau différent de formation psychanalytique et groupale, nous avons organisé un espace formatif théorique semblable a une classe. Un des conducteurs expose les thèmes qui forment le programme: Un parcours pour les éléments fondamentaux de la théorie psychanalytique, des aspects de l’histoire de la psychothérapie groupale, et les aspects de base de la théorie de la psychothérapie groupale et ses applications. Aux deuxième et a troisième année nous proposons de lire des articles et de libres que nous considérons fondamentaux pour mieux connaître les aspects théoriques et d’applications cliniques de la psychothérapie groupale, et de partager ce que nous avons lu parmi les membres qui forment le groupe séminaire. La liste des auteurs y comprend les travaux exposés au libre de Roy McEnzie sur l’histoire de la psychothérapie de groupe, les lectures de Foulkes, Bion, Slavson, Grohjam, Yalom, M. Kissen, M.Nitsum, Anzieu et Kaës, Agazarian, Pat de Maré et M. Pines, Kreeger, Schwartz, Scheidlinger, Shilder, R. Skynner, Pichon Riviere etGarcia Badaracco ; et aussi d’autres auteurs espagnols. Pendant les séances, le conducteur souligne des aspects de la dynamique groupale que paralysent le travail de ce group et qu’il y perçoive peuvent venir des conflits groupales qu’on n’a pu pas parlée dans l’espace de group petit.

Les espace de réflexion sur la tâche. En réalité il s’agit d’un espace de supervision; mais ce mot a des implications et de significations que, dans le champ de la psychothérapie groupale nous croyons ne s’ajustaient a la réalité. Nous pensons que le group a d’être capable de penser tous ensable sur les éléments que proviennent des expositions des expériences groupales conduites par ses membres. Dans ces espaces, chaque membre expose leurs expériences cliniques groupales, ou leurs projets groupales, ou des aspects institutionnels qu’on peut vivre dans la vie professionnelle. Le group, sous la conduction d’un conducteur et la présence de l’observateur, parle sur les aspects qu’on peut voire de ce qui expose; mais aussi, le conducteur souligne des aspects de la dynamique groupale que peuvent paralyser le travail de ce group et qu’il y croie peuvent venir des conflits groupales qu’on n’a pus pas parlée dans l’espace de group petit. Dans ces cas, le group a de différencier ce qu’est propre de ce groupe de réflexion, et de ce qui sont propre du petit groupe.

Le travail de finalisation de la formation. De toujours nous avons considéré le besoin de mettre sur un papier tout ce que représente la formation groupale. Nous savons la difficulté qu’on a pour écrire, pur faire de reflétions théoriques et de fer des investigations en psychothérapie groupale. Ce pour ça que les participant sont priées de faire un travail théorique ou une petite investigation sur n’importe quelle sujet que puisse être de leur intérêt. Ce travail a une longer d’auprès 3000 mots, et doit être présenté au parcours de le dernier trimestre de la formations groupale.

 

Quelques situations pre- anti-groupales de la formation.

Tout cet effort formatif a évolué au parcours de ces dix-sept ans. Les premiers années avaient une claire référence de la psychanalyse individuelle; même les espaces de théorie tournaient autour des auteurs qui considéraient la psychothérapie de groupe comme une forme particulier d’applications de la psychanalyse aux groupes. Mais peu a peu nous avons modifié notre forme de penser et nous considérons de plus en plus les capacités que le groupe a pour réfléchir, pour partager des sentiments, d’y penser sur eux et sur tout ce qui passe dans l’espace groupale ; n’importe qu’il soie grand ou petit.

 

La compréhension du programme formatif comme s’il s’agissait de la formation dans un contexte de communauté thérapeutique, c’est a dire, une communauté thérapeutique formative, donne au programme de Barcelone, une forme particulière de comprendre ce que veut dire pour nous le mot group, et de ce que représente l’individu dans le group: le point nodal d’une hypothétique réseaux de communications conscientes et inconscientes (Foulkes). La discussion sur les nivaux de profondeur du travail psychanalytique en groupe nous mène à dire que le niveau de travail personnel qu’on peut faire dans un group est pareille a ce qu’on peut faire dans le divan d’un psychanalyste ; mais avec tout ce qu’on ne peut pas considérer dans la situation psychanalytique : que l’homme est une part dans un réseaux très complexe de communications parmi des individus, groupes et institutions, et qui représente, actualise et forme la réalité interne des relations objectales qu’organise notre monde intérieur. Ce monde intérieur est organisé de forme dynamique pour les objets, le self, ses relations, ses représentations articulées a partir du langage, parmi les quelles se trouve l’structure pathogénique et quelque fois pathologique, qui provienne de l’intériorisations de relacions groupales originaux (la famille), et que s’actualisent dans le petit group ; et des relations symboliques que nous attachent a la société et qu’on peu voire a partir de l’expérience du grand group et aussi, des séminaires.

 

Tout ça nous permet de comprendre, parmi les travail dans le petit group ne pas seulement le mon intérieur de chaque membre du groupe, sinon comme leurs aspects transferenciaux organisent les relations entre eux, avec le groupe, et avec le groupe et le conducteur et observateur ; et aussi dans le contexte du groupe grand, a partir des processus de transposition (P. de Maré), on peut mieux comprendre les différentes dynamiques et significations sociales et comme tout ça se reproduise en organisant des conflits entre les personnes qui s’articulent a travers de conflits sociaux et en permettant voire les lignes de fidélité invisibles qu’on organise, les difficultés de s’exprimer pas seulement pour les aspects individuelles (Kreeger) mais pour les éléments sociaux, et tout ça dans le cadre du grand group. Même la compréhension des processus mentaux individuels sont envisagés dans le fonctionnement de grand groupe. Pour exemple, on peut voir en action toute la dynamique du processus du miroir et de la constitutions de la identité personnelle dans les séances du grand groupe.

 

Avec tout ça, nous essayons de comprendre et de partager la compréhension de dynamiques individuelles, du group petit, et de group grand, et de les articuler en leur donnant une lecture les plus cohérente possible qui permet, a nous tous, de mieux comprendre la psychologie individuel et groupale comme s’il était la même : ce que Freud disait « la psychologie individuelle est au même temps, et depuis le commencement, psychologie social » (Freud, 1921)

 

Mais tous ces efforts essaient d’articuler la capacité des membres de bâtir un travail groupale malgré les difficultés que, sous la forme de processus anti-groupales (Nitsum, 1996), veillent détruire l’intérêt pour le travail du group et de ne pas arriver a ses objectifs. Nous avons vécu plusieurs moments qui nous ont obligé a travailler avec toute notre capacité d’élaboration mentale, pour modifier la tendance destructive que ces moments nous ont posé.

 

Parmi les moments les plus dangereux que nous avons vécu, on peut souligner les suivants :

 

1. Les abandons. Nous savons que tout procès groupal a une complexité grande. Part de cette complexité provienne de l’attraction que le group organise comme une forme de travail qui permet de comprendre très bien les phénomènes psychiques des patients. Mais quand il s’agie de comprendre les processus personnels des professionnels de la santé, la question est pas plus claire. Et malgré avoir donné toute la information possible, il y avait de professionnelles que, en voyant qu’on devrait parler d’eux mêmes, de leur circonstances, et de se mettre en relation avec les membres de group de forme personnelle, abandonnent l’expérience. Ça représente des problèmes importants. D’un coté, on doit former des groupes avec un minimum de personnes pour assurer leur vie pendant trois ans; mais d’autre, on doit considérer la possibilité des abandons possibles et de refonder les membres qui veuillent suivre la formations en un nouveau group. Ça provoque de tensions importantes parmi les membres.

 

Ce question des abandons a provoqué des tensions importants pas seulement entre les membres du group mais sur les membres de l’équipe de professionnels et aussi a toute l’structure. Quelquefois l’abandon a été de la moitie d’un groupe comme une forme de proteste o comme une forme de manifester les angoisses provenant de la décision, en ce cas, de partager un group trop grand. Ces tensions provoquent la révision de toute nôtre capacité de réflexir, questionnent la forme d’accepter les nouveaux membres, la forme d’introduire des modifications en l’structure et la forme de maintenir, aussi, l’autorité qui, des sa responsabilité en prendre une décision, a d’accepter la réaction contraire de certes membres qui son débordée par l’angoisse des premiers jours.

 

2. Le changement et l’adecuation de l’espace de travail Ce une autre forme que peu provoquer de mouvements anti-groupales entre les membres. Au parcours de ces 17 ans nous avons changée trois fois du Centre ou réalisons l’expérience formative. La première ça a eut lieu pendant un course. L’autre avant commencer an autre course. Les modifications de ces espaces de travail, comme celui ci de le changement du locaux par raisons institutionnelles a provoqué nombreuses résistances parmi les membres. On avait la fantaisie que nous ne somme pas capables de supporter les pressions Institutionnelles, de n’être pas capables de facer les besoins d’autres professionnelles que partainaient a l’institutions avant que nous, de n’être pas capables de nous imposer… et en certain manière ce sont de fantaisies avec un certain point de raison : nous ne travaillons a nos locaux, nous travaillons ou les institutions qui nous offrent leur support nous permetent, mais ça dépens aussi des besoins que ces Institutions avaient. Ça veut dire que l’équipe a d’être capable de s’adapter et de pouvoir tolérer les modifications que l’estructure nous impose et de l’utiliser comme une forme de mieux comprendre la réalité dans la quelle tout le monde de la santé mentale travaille ; mais aussi de pouvoir travailler ce que ça représente pour les membres, et pour tant pour les patients. Quelque fois les membres posaient de nom particulier au local ou ils travaillent : « sa cova », ça veut dire « la caverne » comme une forme de dénoncer le petit lieu ou ils travaillaient et, au même temps de l’accepter.

 

3. des décompensations psychiques. Ce vraie que ce pas habituelle ce circonstance. Mais quelque fois, un membre a pu entrer en un état de confusion particulière et, en certain moment de se décompenser psychiquement. Sans vouloir entrer en la particularité de chaque de nous qui en certes moments nous empêche d’être capables de tolérer les tensions qui proviennent d’un travail groupale, l’structure du group, petit ou grand, et de toute l’structure formative se trouve en face une circonstance particulière : de la capacité des professionnels qui conduisent les groups, de la de le group qui a ce personne, du grand group et des membres de l’équipe de travail dépend la résolution de la crise. Toujours les résolutions de les crises augmentent la confiance en l’structure formative et aussi en la capacité des groups de contenir les angoisses de ces membres.

 

4. l’absence, pour maladie ou autre circonstance, d’un conducteur. Les conducteur ne somme pas personnes exceptionnelles, nous avons de circonstances personnelles qui, quelquefois nous mènent au lit ou au hôpital, ou nous empêchent d’y aller au travail. Cette circonstance provoque de problèmes parmi les membres du group qui, si on n’a pas prévu d’avoir un observateur qui puisse substituer le conducteur en ces circonstances, se trouvent en travaillant toute le week-end parmi eux. Ce particulière circonstance a provoqué l’organisation d’une solutions dialogué entre les membres du group et les responsables de la formation. Ces circonstances a toujours possibilité que les membres de group affecté, puissent améliorer la confidence au group et à l’structure a partir du moment que on a pu percevoir que les responsables avait accepté de modifier le cadre de travail et possibiliter qu’un outre espace, et avec la coordination d’un autre membre de l’équipe, puisse être utilisé pour travailler les aspect agressifs qui proviennent de ce circonstance.

 

5. la rupture de la confidence. En certains moments la norme pour la quelle ce qu’on parle au group reste entre les membres des group, a été casé. Les tensions que normalement on a dans une structure avec 50 membres, avec huit groups qui travaillent, provoquent que la norme soit casé et certes informations puisent apparaître dehors l’espace groupal. En ces cas la situation est complexe. D’un coté, il y a un problème dans le group petit, d’ou la informations a sorti. Ces un problème que le conducteur doit travailler pour éclaircir ce qui est passé, quelle signification a cette rupture et comme ça peut enfaiblir les relations parmi les membres du group qui perçoivent que la membrane psychique du group a été ouverte. Mais d’autre part, comme cette rupture affecte le group grand, et l’structure. L’équipe de conducteurs doit travailler avec la information que peut apparaître au parcours d’un group grand et traduire et considérer les aspect sociaux que cette information peut nous offrir pour mieux comprendre des situations d’autre part réelles qu’on peut vivre a les institutions.

 

6. Les modifications de l’structure. Au parcours de ces 17 ans, l’structure n’a pas été la même. Au premier moments, nous offrons la formations en quatre week-ends, plus tard nous élargissons la formations au sis et plus tard a huit week-ends. D’autre part les membres de l’équipe formatif ne sont pas les mêmes ; quelques sont parties, d’autres sont inclues, cet à dire, l’structure change. Même la personne qui a la responsabilité de la part administrative, la secrétaire, a changé plusieurs fois, avec tout ce qui veut dire d’instabilité, etc. Ça veut dire que l’structure cet une structure changeante et ça a de répercussions dans la vie des groupes. La sensations de faiblesse, de modifications que puisse détruire le travaille groupale, tout ça provoque des réactions dans les petits et grand groups. Même une modification des dates ou de la présence o non de la personne en frontière a une répercussion importante dans l’structure. La capacité des personnes pour prendre tout ces situations pour canaliser les énergies négatives et provoquer de tensions est grande. Et l’effort que l’équipe et le group doit faire pour reconvertir tout ce force négative en potentiel constructive, est important.

 

7. les situations sociaux. Toujours les problèmes de la société affectent la marche des groups. Le phénomène de la transposition (De Maré) est claire : quand nous somme, par exemple, au milieu du noël, o des élections politiques, ou dans un période d’agitation social avec des grèves et manifestations, les problèmes du terrorisme, les situations provoqués par la guerre a l’Iraq ; même les problèmes de la immigrations, de la langue, du nationalisme, tout ça a une répercussion importante dans la vie des groups. Les répercussions puissent être importantes : pour exemple, dans les dernier mouvement contre la guerre a l’Iraq, presque la moitié des membres des group grand non pas assisté au group et son allés, on le suppose, a la manifestation. Tout ça provoque des tensions importantes entre les membres pas seulement dans le grand group, mais dans l’équipe de professionnelles, et au petits groupes qui doivent réflexir, et quelquefois adopter décisions personnelles qui ne vont pas au même direction de la reste du group. Ça nous oblige a considérer encore plus le besoin de bâtir une forme de travailler ou tout puisse être parlé, partagée et les émotions et les sensations q’on a puissent être abordés dans le cadre du travail groupale, ou l’individu a ça place et, au même temps, le petit groups et le grand group.

 

8. Les évolutions professionnelles individuelles. Un autre aspect qui puisse devenir en font de problèmes et génératrice de situations anti-groupales concerne a l’évolutions personnelle de chaque membre de l’équipe de professionnels. En effet, le normal développement de chacun de ceux qui constituons l’équipe formative produit de les expériences professionnels et de ce que on étudie pendant sa vie, produise des évolutions que ne vont pas parallèles avec les autres. Ça provoque que les lectures de ce qu’on passe au parcours des séances et au parcours des week-end, puissent bien être différentes. Ce vrais que il y a un accord tacite entre nous : ne pas organiser des conflits entre nous pendant les sessions de group, et de discuter nos différences au sein de l’équipe de travail. Et jusqu’au présent nous avons accepté ces norme interne. Mais d’autre part est difficile de ne pas montrer de petites différences, mais les respect que nous en avons nous a permis de tolérer ces différences et les discuter dans notre group. Comme il ne s’agie pas d’avoir la vérité sinon de pouvoir partager les différents points de vue que nous avons, ça nous a permis de maintenir nôtres points de vues sans les vouloir les imposer aux autres et de trouver la formule particulière d’articuler ces différences en acceptant que la complexité de la vie psychique individuelle et groupale est immense.

Pour finir

 

Finalement nous voulons souligner la permanente évolution de notre course de Barcelone que a l’objectif de pouvoir offrir une expérience formative que puisse coordonner les différences de la même forme que chacun de nous doive coordonner les différentes tensions entre positions, parfois opposées, des nos idées, sentiments et affects. La capacité de nous constituer en équipe formatif qui est capable de comprendre la formation dans le cadre d’une communauté formative, se doit a la capacité de tous mes compagnons, a l’effort du Dr. Ayerra et la semence qui posa Dr. Guimon.

 

Merci bien.

A Barcelone, 15 d’août de 2003

Este es un artículo que pongo a vuestra disposición.